La confession auriculaire, c'est à dire à l'oreille du prêtre, a eu ses abus.

Le premier confessionnal fut importé en France sous Louis XIV, avant, on s'en passait.

Nous admettons la confession auriculaire qui ne peut-être agréable à Dieu que faite librement et non par contrainte.
Nous en rejetons tous les abus tendant à lui donner une forme inquisitoire.

La confession est plutôt la libre confidence du malade spirituel au médecin des âmes.

Au cours de la messe, l'assemblée reçoit l'absolution de l'Eglise dans la mesure où chacun est capable de pardonner à autrui.
N'étant pas obligatoire, la confession est cependant conseillée dans un climat confiant: "Je connais mes brebis, mes brebis me connaissent " dit Jésus.


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